DIX POINTS SUR LA PHYSIONOMIE POLITIQUE ET PLANIFICATRICE DE NAR

Nouveau Courrant de Gauche – NAR :

 

DIX POINTS SUR LA PHYSIONOMIE POLITIQUE ET PLANIFICATRICE DE NAR

 

1.  CAPITALISME MONTERNE ET LUTTE DE CLASSE

 

Ces dernières années une nouvelle qualité à l'évolution du capitalisme a été révélée, laquelle est caractérisée par coupes importantes à toutes ses caractéristiques structurelles : Au processus de la production et du travail, au niveau technologique, à la procédure de la distribution du revenu, à la procédure de la socialisation de la production, au système international, au niveau de l'Etat urbain, aux formes de médiation politique et de souveraineté idéologique.

Les éléments structurels de ce nouveau stade du capitalisme (absolu- total- totalitaire), concernent par conséquent toutes les cadres des relations capitalistes et ils constituent une unité indivisible, avec de base la place de ces travailleurs en sa totalité des relations, dont leur noyau sont les relations d'exploitation et de détachement de plus-value. Les aspects principaux de cette coupe qui se relient au terme et à la substance du capitalisme totalitaire sont :

• L'assujettissement catholique au capital et à son bénéfice du travail (manuelle et mental), de l'existence humaine, de la nature, du système international, de toutes les relations sociales et politiques.

• La croissance extensive des relations capitalistes à toute la planète, à de nouveaux secteurs qui « s’indistrialisent» ou nouveaux secteurs.

• Le caractère du développement capitaliste, profondément réactionnaire et catastrophique pour les besoins humains et la nature.

• L'attaque aux libertés populaires, l'emploi étendu de violence politique et de terrorisme de l'Etat, l'entrelacement organique de la contrainte économique avec la violence politique et idéologique.

 

Le capitalisme totalitaire - en tant que stade de développement réactionnaire et de crise du capitalisme- signifie une transformation qualitative du capitalisme-impérialisme monopolistique, refus ses de certaines caractéristiques, développement qualitative ou réapparition de certaines, modification d'autres. Il fait suite une coupe réactionnaire qualitative dans « le continu » de l'évolution des relations capitalistes, une dialectique corrélation d'anciennes et nouvelles caractéristiques. Simultanément, le capitalisme totalitaire inclut la tendance de renversement de la propriété individuelle, de l'exploitation et du pouvoir urbain, prépare de manière qualitativement supérieure les termes matériels sur la révolution anti-capitaliste et la libération communiste internationale.

 
2.  L’ ATTAQUE DE CAPITAL

 

Du début de 2000 le capitalisme est entré dans une nouvelle phase. Symboliquement est signalé par le 11ème septembre, son noyau cependant est lié a la crise structurelle de l’ accumulation du capitalisme totalitaire  et à son effort de dépassement par une « croisade », urbaine, réactionnaire et totale . Ce tournant a caractère à long terme et il révèle que les nouvelles combinaisons des formes d'exploitation commencent à perdre leur force « propulsive » pour la « croissance capitaliste ». La marche du capitalisme a comme permanents « compagnon de voyage » le développement réactionnaire, les oppositions insurmontables et les crises.

 Le capital, les gouvernements et tous les mécanismes urbains nationaux et internationaux, répondent à la crise avec un nouveau cadre stratégique urbain, qui affecte de manière barbare les droits des travailleurs et des jeunes. Le caractère total et très profondément réactionnaire de l'attaque, impose un engagement - et une reconstruction de tous les mécanismes de souveraineté politique- idéologique, quand il peut pas construire des alliances plus larges et efficaces avec les couches exploitées. Un bloc urbain uni de pouvoir est formé dans tous les pays capitalistes développés, auquel « sont alignés » des partis urbains gouvernementaux et d'opposition, le capital, les institutions de l'Etat et constitutionnelles, aux medias, aux mécanismes répressifs, à l'église, à la justice, aux institutions supranationales (spécialement l' E.U.), la bureaucratie syndicale etc.

Noyau de l'attaque est un nouveau plongeon à l'exploitation de la force ouvrière et de la nature. L'attaque comprend une série de réactifs qualitatifs de coupes dans le cadre international (« mondialisation capitaliste », achèvements, guerres répétées etc.), au niveau politique (lois « anti-terroristes », mécanismes de contrôle et de répression etc.) et au niveau idéologique - culturel. Avec ces évolutions, le cadre économique et exploitive , trouve son supplément à un réactif cadre politique total.

Par conséquent, le néolibéralisme, socio-liberalisme et les autres formes de gestion politique de l’attaquene ne sont pas un choix politique de portions de l'ordre urbain ou de pays (p. ex. Etats- Unis), qui peuvent être remplacés par un autre choix politique de capitalisme plus doux. Ils constituent une tendance endogène du système et ils scellent tous formations sociales capitalistes. La  gauche anti-capitaliste doit se tourner face à cette tendance et au coeur de la stratégie urbaine moderne, et pas seulement face aux versions les plus extrêmes (Bush, guerre, « mondialisation », capital boursier etc.).

 
3. UN MONDE DE NOUVELLES POSSIBILITÉS ET DE DIFFICULTÉS INHABITUELLES

 

Les évolutions au monde moderne et la lutte de classe sont scellées sans précédent par le conflit des nouvelles possibilités de la culture sociale avec la dynamique catastrophique de la propriété individuelle et de l'exploitation, de combat entre la nécessité et la possibilité de suppression de la société de classe et la réalité réactionnaire que forment les restructurations du capitalisme totalitaire.

Nous vivons, donc, à une époque de grandes possibilités pour  la lutte révolutionnaire et le re-fondement  communiste, qui s'efforcent à ouvrir une route à un paysage de difficultés inhabituelles. La souveraineté urbaine est écrasante et ressemble paisible, cependant l'exigence pour exemption des chaînes capitalistes « gicle» de façon pressante de chaque ressource de la société. Le dilemme révolution-communiste anti-capitaliste libération internationale ou barbarie capitaliste est posé de manière exceptionnellement actuelle. Le besoin de réponses anti-capitalistes totales avec un contenu communiste vient à la surface plus intensément. L'opposition de capital- travail apparaît plus clairement de chaque individuelle question et domine sur les oppositions secondaires et intercapitalistes, en révélant le besoin de sa résolution révolutionnaire. Le combat économique et politique, la lutte pour les revendications directes et « indirectes » s'entremêlent plus profondément, organiquement et directement. L'affrontement pour « le petit » problème est politisé et est changé en affrontement contre aux « piliers »  de la politique urbaine, même les constantes de base du système.

La tendance de la lutteanti-capitaliste et internationale et  de la libération communiste, sera une partie d'un courant socio-politique radical plus large. Il ne peut pas être développé cependant comme un aile gauche  d'un mouvement anti - néolibéral, sous l'hégémonie de forces bourgeois. Aujourd'hui toutes les classes bourgeoises s'intègrent organiquement au système international du capital, quand les questions de  démocratie ne peuvent pas être répondues de manière reformiste, mais seulement de la lutte révolutionnaire ouvrière.

Nous nous enrôlons, à la croissance indépendante du combat révolutionnaire et à son effort d'influer sur le mouvement radical plus large et non sur la transformation de la lutte ouvrière en courant supplémentaire d'une nouvelle utopie réformatrice.

À ces cadres NAR forme une perception politique, proposition et pratique, qui est constituée par trois aspects fondamentaux et intégrants :

• Refondement de la perspective libératrice communiste

• Front ouvrier anti-capitaliste, pour le renversement de la politique urbaine à travers chaque tournant-phase de la lutte de classe, d'aujourd'hui jusqu'à la révolution anti-capitaliste

• Nouveau mouvement ouvrier, compétent que constitue crainte concurrente à la barbarie du capital
 
4. FRONT OUVRIER ANTI-CAPITALISTE

 

NAR, inspiré par cette  perception, répond à cette question du renversement de l'attaque anti-ouvrière et du renversement de la souveraineté urbaine, en faisant paraître la proposition politique du front ouvrier anti-capitaliste. Des éléments de cette proposition politique, constituent :

- La configuration d'un mouvement socio-politique d'opposition ouvrière combative, de rupture et de renversement de l'attaque urbaine et de la politique

- La réalisation de pas essentiels d’un front anti-capitaliste et révolutionnaire de gauche. Le contenu du front ouvrier anti-capitaliste a à son noyau les besoins sociaux et  les possibilités modernes et la lutte pour une amélioration radicale et pour le changement de la place des travailleurs. Son but est la concentration, constitution et organisation des forces du front socio-politique révolutionnaire, à une période caractérisée par des corrélations politiques négatives, où la révolution anti-capitaliste ne se trouve pas à la disposition quotidienne de la lutte de classe.

Dans son cœur se trouve la lutte révolutionnaire à chaque front et question, la reconstitution et l'apparition indépendante de la politique ouvrière, la croissance de la lutte de classe des masses. Ses formes sont les luttes combatives indépendantes, la constitution de l'aile anti-capitaliste à chaque front et globalement, la configuration du pôle anti-capitaliste.

Point de départ pour la configuration de la proposition politique du front ouvrier anti-capitaliste est la perception fondamentale que les travailleurs et les jeunes ne sont pas convaincus seulement ou principalement par « la fermentation révolutionnaire », mais à travers l'expérience politique pratique qui accumulent, à travers la participation aux combats de classe.

 
5. LE BESOIN ET LA POSSIBILITE DE LA LIBERATION COMMUNISTE

 

Le besoin et la possibilité de la libération communiste internationale sont plus pressants et actuels de jamais. Elle est révèlee par le caractère réactionnaire du capitalisme moderne et  par l'hostilité sans précédent des gouvernements, de l'UE, du marché libre, de la « mondialisation capitaliste », du système politique face aux besoins des travailleurs, face à la nature et à la planète. Elle est approvisionnée par les nouvelles possibilités qui giclent de l'évolution de la culture humaine, des oppositions capitalistes insurmontables, de la lutte de classe, des quêtes de combattants précurseurs du combat ouvrier anti-capitaliste et de la politisation de la jeunesse. Le fait que la lutte anti-capitaliste ne peut pas être limitée seulement - à l'indispensable « non », il faille pour il soit inspiré par la perspective d'une société sans exploitation, oppression et l'aliénation, la fait impérative. Nous sommes délimités par la nostalgie « du socialisme existant inexistant », ou par l'attente d'un capitalisme « avec un visage humain », que rêvent les commandements de la gauche reformiste. Nous visons au refondement de la notion et de la pratique du communisme aux conditions modernes, à une nouvelle perception pour la relation de stratégie, le caractère de la lutte politique, la relation de lutte économique et politique, au rôle du sujet et à la relation de classe- front- parti, à la perception du parti communiste de notre époque, à la relation avec la théorie marxiste. Le besoin du refondement communiste résulte tant de la réalité du capitalisme moderne que de la faiblesse et de la crise de tous les courants qui ont entrepris, le siècle antérieur, de le douter et de le renverser. Elle est inconcevable sans la discussion collective sur le capitalisme de l'époque et notre expérience double de la victoire et de la défaite du mouvement communiste, sans l’autocritique historique, le dépassement créatif,  la coupe dans la continuité. Seulement ainsi sera formée une troisième vague du mouvement communiste, qui sera liée aux tendances radicales qui sont développées au capitalisme moderne, en les mettant en valeur aspects plus précurseurs de son trajet historique, aux tentatives subversives polymorphes, les tendances qui s'opposaient à l'intégration et à la défaite du réformisme communiste.

 
6. LA QUESTION DU POUVOIR, LA RÉVOLUTION ANTI-CAPITALISTE ET LES BUTS DU FRONT ANTICAPITALISTE OUVRIER

 

Le tournant politique fondamental qui ouvre la route de la libération communiste internationale est la révolution anti-capitaliste. Sans l'abolition de la souveraineté urbaine, l'écrasement de l'Etat bourgeois et le pouvoir ouvrier, un changement de caractère total anti-capitaliste ne peut pas être réalisé, ne pourront pas être appliqués globalement les changements radicaux qui ont besoin les travailleurs, ne pourra pas commencer la démocratie ouvrière transitoire vers  la libération communiste internationale. La révolution anti-capitaliste est l'objectif politique total qui répond de point de vue ouvrier-subversif au problème du pouvoir, aux oppositions plus profondes du capitalisme totalitaire, aux caractéristiques stratégiques de l'attaque réactionnaire de la coalition urbaine de pouvoir. La vie, elle-même, fait chaque autre forme intermédiaire irréalisable de politique totale de « proposition » sans révolution anti-capitaliste et changement de pouvoir.

La lutte, qui a au noyau cette logique subversive, est la seule qui peut conduire à détachement de conquêtes, sous le « chantage combatif massif » des travailleurs, ou même à la configuration potentielle « d'instantanés spécifiques-anecdotes » des corrélations socio-politiques et de la lutte de classe (p. ex. Amérique latine).

La gauche révolutionnaire refuse la participation à des gouvernements dans le cadre du capitalisme. Elle confronte aux politiques du front antineoliberal. La ligne politique du front ouvrier anti-capitaliste, répond à la question des conditions et des routes pour la coupe révolutionnaire, en réunissant « sa pointe » à l'affrontement avec de caractère attaque stratégique du bloc urbain de pouvoir. L'amélioration de la place des travailleurs et des jeunes, présuppose la défaite et le renversement de l'attaque urbaine à des secteurs critiques et les fronts. La configuration d'un mouvement de perspective plus large est essayée à la confrontation effective grâce à cette politique. L'espoir pour la configuration de la gauche anti-capitaliste et le refondement communiste, ne peut pas être engendré si le bouteur de l'attaque urbaine nivelle chaque trace du droit, de conquêtes, de collégialité, de doute et de résistance. Recherche du front ouvrier anti-capitaliste, par conséquent, est un tour radical aux corrélations sociales et politiques qui s'exprimera : au niveau des besoins ouvriers et du mouvement, grâce à la garantie de conquêtes qui repousseront l'attaque urbaine et amélioreront socialement et politiquement la place des travailleurs. Au niveau politique total, grâce à la configuration d'un pôle sensible anti-capitaliste révolutionnaire gauche et des constituants de politique ouvrière. Au niveau des objectifs stratégiques, avec la contribution au renforcement du refondement communiste en tant que de perspective, de pratique et les formes de constitution. L'accord sur la révolution anti-capitaliste et, la libération communiste internationale ne constitue pas condition des programmes de lutte, de nos alliances. Le front ouvrier anti-capitaliste n'accueille pas seulement de forces révolutionnaires « prêtes », qui ont abouti à la question du pouvoir, ont définitivement été dégagées par les tendances de soumission et ont des caractéristiques radicales intégrées. Il joint tous les niveaux d'action radicale et anti-capitaliste, les primaires en tant que les plus conscients, en recherchant à ce que nous déplacions des forces combatives-radicales de la base ouvrière de la gauche reformiste et se socio-democratie.

 
7. NOUVEAU MOUVEMENT OUVRIER

 
Radicalement rené, le mouvement ouvrier constitue «l’âme » de l'opposition ouvrière combative et sera bâti au combat pour amélioration de la place des travailleurs, augmentations des salaires, diminution des heures de travail, refoulement des privatisations, renversement des réactifs de restructurations de Lisbonne et de Bologne à travail, à éducation et à santé. Le besoin pour un tournant stratégique et reconstructif, à confrontation avec et le syndicalisme bourgeois réformiste, ne résulte pas seulement défensivement, pour le dépassement des corrélations négatives, mais aussi de la possibilité d'effet aux nouvelles résistances, de nomination des tendances d'émancipation et de politisation radicale des combats. Un mouvement ouvrier nouveau-né doit « jeter le poids » principalement aux espaces de travail et à des syndicats qui couvriront tous les travailleurs de l'espace. L'indépendance du mouvement ouvrier et de son filet qui lie les syndicats à l'Etat, au patronat, à l'UE, les mécanismes de gestion du régime établis est un aspect très important.

Même importance a aussi le fonctionnement des syndicats ouvriers, la délimitation de la bureaucratie, « de la lutte par des représentants », de la logique de l'« affectation ». Si on ne pas donne pas priorité aux procédures démocratiques collectives de base, qui permettront la autonomie de la lutte des mêmes les travailleurs » ne seront créés des termes de combats victorieux . Le devoir critique est la coordination des syndicats ouvriers et des collégialités qui d'aujourd'hui expriment le besoin d'un tour radical au mouvement ouvrier, afin que soit formée en pratique une autre centre de celle du syndicalisme bourgeois, proposition combative radicale, celui de centre indépendant de combat.

 
8. D’ AUTRES FRONTS IMPORTANTS

 

* « Le problème de démocratie» apparaît avec intensité et est lié à la lutte totale pour les droits sociaux et publics et libertés des travailleurs, les droits des immigrés et des minorités, contre le racisme, le nationalisme et la xénophobie.

 * Le combat contre la guerre et impérialiste nouvelle ordre, la « mondialisation capitaliste », l'Union Européenne et le système international du capital, ils apparaissent également de manière exigeante à la scène. Le combat anti- imperialiste  acquiert aujourd'hui une nouvelle qualité et une profondeur anti-capitaliste.

 * À parts égales, importante est l'action pour les questions de la ville, de l'espace, de l'environnement et des changements climatiques.

* Enfin, exceptionnellement critique est l'intervention ouvrière radicale au champ de la culture et de l'information. À chacun de ces fronts nous recherchons à ce que soit développée action combative massive réelle et parallèlement à ce que soient constituées des formes-structures de la perception anti-capitaliste.

 
9. LE POLE DE LA GAUCHE ANTI-CAPITALISTE

 

L'apparition d'un pôle de la gauche anti-capitaliste, constitue un besoin des travailleurs, spécialement de leur partie radicale. Condition critique pour ceci est l'unification anti-capitaliste ou du potentiel anti-capitaliste organisé disséminé qui recherche et lutte en opposition avec l'attaque réactionnaire et l'ordre capitaliste et n'est pas content de la gauche gestionnaire reformiste. La réalisation de certains pas à cette direction aura effet direct au developpement du mouvement et à sa perspective politique. Pour que les initiatives soient dignes de confiance et aient de la perspective pour une autre gauche,  il faudra que les militants  qui participent à celles-ci  aient apparition au moins commune aux combats politiques, à des fronts (démocratie, guerre, UE, environnement), électorales (à des associations, à municipalités ou à Parlement) du point de vue de la perception plus générale et de la perspective du pôle autre gauche. Les pratiques que considèrent qu'on peut construire une gauche indépendante et anti-capitaliste comme aile d'un des courants politiques compétitifs (KKE ou SYRIZA très plus du PASOK), sont abrogatives sans issue et pour le pôle. Avec la gauche reformiste on peut et il faut, cependant, avoir action commune a condition, que la gauche anticapitaliste est indépendamment structurée à tous les fronts de lutte. NAR, participe jusqu' a maintenant au front radicale de gauche, ce qui recherchons et proposons à ce qu'il contribue avec son acquis positif, à la direction d'une unification anti-capitaliste plus large.

 
10. LE SUJET REVOLUTIONNAIRE

 

NAP, nous,  nous avons adopté une nouvelle perception pour le sujet révolutionnaire, auquel nous considérons que contribuent l'organisation communiste, le front anti-capitaliste et l'aile radicale du mouvement de l'ordre ouvrier. À ces cadres, nous considérons que l'organisation communiste révolutionnaire est un point de départ important pour la constitution du sujet révolutionnaire politique en général. La physionomie et son caractère sont déterminés fondamentalement par l'objectif stratégique, la libération communiste internationale. Sa caractéristique principale est l'effort pour promotion de l'hégémonie des idées révolutionnaires et du compte rendu à l'action anti-capitaliste politique et massive de la classe ouvrière, cependant, pas comme propriété exclusive ou son propre travail exclusif. Par rapport au front anti-capitaliste, l'organisation est fondamentale et le front est déterminant. Le front est l'action politique anti-capitaliste radicale et la coalition jusque le renversement de la souveraineté bourgeois. Il est le champ auquel est jugé directement le combat ouvrier politique et révolutionnaire. L'action anti-capitaliste de la classe est le terrain auquel est donné le combat pour la constitution du sujet politique révolutionnaire. Il se tourne « spontanément » mais objectivement contre le système. Il est l'anneau de jonction des communistes à la majorité de l'ordre. De sa propre manière il produit politique et idéologie, il renforce la croissance de la conscience de classe.